MWM annonce ses 200 millions de téléchargements et affiche une croissance exponentielle.
Mercredi 17 octobre 2018 — Un an après avoir annoncé avoir passé la barre symbolique des 100 millions de téléchargements, MWM dévoile ses derniers chiffres à l’occasion du MaMA 2018. L’éditeur français d’applications musicales annonce aujourd’hui avoir dépassé le cap des 200 millions de téléchargements dans 182 pays.
Un large panel d'applications musicales
MWM s’est d’abord fait connaître pour avoir développé des applications de Production DJ, notamment edjing Mix. Lancée en 2012, celle-ci est rapidement devenue l’application DJ n°1 mondiale, plusieurs fois élue “Application de l’Année” par Apple et Google. Forte de ce premier succès, MWM décide rapidement d’élargir son offre pour investir d’autres verticales de la musique, notamment l’Écoute et le Jeu. Enfin, en 2018, la société décide de concentrer son travail sur le segment de l’Apprentissage avec les lancements successifs de 4 applications permettant d’apprendre le rythme, le piano, la guitare ou la batterie. Cette stratégie de diversification a permis à MWM d’augmenter de manière exponentielle son nombre d'utilisateurs et ainsi de doubler son volume total de téléchargements en seulement un an.
MWM devient le 1er éditeur français d’applications musicales, 5ème monde.
Au total, MWM compte maintenant 12 applications sur les principales verticales de la musique, à savoir la Production, l’Écoute, le Jeu et l’Apprentissage, ce qui fait de la société le plus large écosystème d’applications musicales en France. MWM est aujourd’hui le premier éditeur français d’applications sur le segment de la musique au classement App Annie. Classée numéro 5 mondial, la société compte sur sa croissance exponentielle pour grimper sur les premières marches du podium d’ici les prochains mois.
Jean-Baptiste Hironde, Fondateur et CEO :
“Nous sommes très heureux d’avoir réalisé ce nouveau record qui place MWM comme le nouvel acteur incontournable dans le domaine de la musique. Nous projetons d’accélérer encore nos développements pour entrer dans le cercle très fermé des licornes françaises”.